Rassembler et créer un réseau de soutien à l'intention des anciens otages, ainsi que de leurs proches, du bus n°5 qui devait effectuer, le 13 février 1976, le trajet entre la base aérienne 188 et les établissements scolaires de Djibouti, l'association a également pour but de développer la connaissance de cet évènement, du contexte politique de l'époque, faire reconnaître les ex otages et leurs proches par les pouvoirs publics, notamment sur la liste unique des victimes (LUV), afin de bénéficier de l'indemnisation par le FGTI, des dispositions des codes des pensions et de la sécurité sociale et de la faculté d'adoption en qualité de pupille de la Nation, de veiller à ce qu'une exploitation intellectuelle, notamment cinématographique, prenne en compte les intérêts des victimes