Les résultats de nos jeunes élèves sont tombés…
Pfou, que de belles Mentions cette années, un grand Bravo aux Stagiaires ainsi qu’aux Intervenants !
http://www.gestasso.com/…/vudenhaut-fran…/le-coin-du-pilote/
Les résultats de nos jeunes élèves sont tombés…
http://www.gestasso.com/…/vudenhaut-fran…/le-coin-du-pilote/
Attention j’arrive,
encore un peu de vols sur le dos et on attaque les leçons !
A très bientôt donc,
Fred.
Mais cette fois en visiteur… Bon meeting à tous !
http://fosa.fr/meetingdelair/meeting-distres/programme/
Nous y étions, ce jour avec nos Stagiaires de Gignac,
Marignane et Aix de 13 à 17 ans.
Merci aux Accompagnateurs, Chauffeurs et Intervenants
qui ont permis cette journée.
https://www.facebook.com/VUDENHAUT-France-103887029673192/?fref=ts
Pour ceux qui les connaissent, une petite photo (tant pis, il ne fallait pas nous l’envoyer…) de nos deux amis Jonathan (A gauche) et Jean-François (A droite)
La réglementation de la DGAC pour le co-avionnage
retoquée par le Conseil d’Etat.
La DGAC a mis en place ces derniers mois une réglementation cadrant la pratique du co-avionnage, avec en pratique la nécessité d’avoir une licence CPL ou ATPL, ou la qualification de vol aux instruments (IR) ou d’instructeur FI(A) pour pouvoir aller au-delà des restrictions relatives aux baptêmes de l’air en aéro-club (vol de A à A et de moins de 30 mn). Ces restrictions étaient contraires aux décisions de l’EASA, souhaitant libéraliser ce type de pratique en Europe.
Ces derniers jours, le Conseil d’Etat a déclaré illégales les restrictions imposées par la DGAC, après intervention juridique d’un pilote. La réglementation française se doit donc d’appliquer la directive européenne avec ouverture du « partage de frais » à des passagers pouvant être contactés via diverses plates-formes internet de co-avionnage. Ces passages issus du « grand public » n’ont pas besoin d’avoir de liens avec le pilote, comme c’était la pratique jusqu’ici au sein des aéro-clubs, un pilote pouvant partager les frais d’un vol avec sa famille, ses proches, des collègues…
Des clubs ont déjà interdit, via leur règlement intérieur, une telle pratique, ne voulant pas prendre de possibles risques dans différents domaines : fiscal, juridique… avec des passagers n’ayant aucun lien avec la « communauté » aéronautique. Les clubs ont donc plusieurs choix : interdire le co-avionnage, accepter un partage des frais « élargi » à des passagers hors du « cercle rapproché des connaissances » du pilote, ou encore appliquer la réglementation EASA…
http://www.gestasso.com/association/vudenhaut-france/
http://www.aixenprovencetourism.com/a-voir-que-faire/activites-et-loisirs/sports/6/?detail=13325
https://fr-fr.facebook.com/pages/VUDENHAUT-France/103887029673192
http://vudenhaut.forumpro.fr/forum
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Et voila, on m’informe que Denis (Alias KAD) vient de réussir son Examen Théorique Brevet de Base.
Nul doute que le PPL va suivre au vu de la préparation accomplie !
On attend maintenant les « nouvelles ailes » et le Champagne…
Un grand BRAVO !!
Divers projets de co-avionnage se développent par le biais de plateformes facilitant la mise en relation entre des pilotes privés et le grand public. Cette activité n’est pas sans risques et n’offre pas les garanties de sécurité attendues pour le transport public de passagers.
La réglementation permet à un pilote privé de partager les frais du vol avec des membres du cercle familial ou amical lors d’un vol privé ou de loisirs.
L’extension au grand public sort du cadre privé et se rapproche du transport public. Mais le transport aérien public commercial est soumis à un ensemble de règles contraignantes relatives au pilote professionnel, à l’aéronef, à son entretien, à son équipement et aux procédures d’exploitation. Le transport public présente un haut niveau de sécurité bien supérieur à celui de l’aviation générale.
Ainsi toute forme de commercialisation ou de rémunération de vols est interdite à un pilote privé, la formation de pilote professionnel se situant à un niveau supérieur d’exigences en matière de compétences, d’expérience ou encore d’aptitude médicale. La licence de pilote professionnel est supérieure à celle d’un pilote privé.
Lorsqu’un pilote professionnel est aux commandes, l’entreprise qui organise les vols de transport public détient un certificat de transporteur aérien, qui démontre que la compagnie a la capacité de respecter l’ensemble des règles techniques applicables. Elle dispose également d’une police d’assurance particulière couvrant efficacement les passagers qu’elle transporte.
Cet écart significatif d’exigences techniques protège ainsi passagers et pilotes. Le non-respect de ces dispositions expose à des sanctions disciplinaires et pénales pour les pilotes et les entreprises dès que des projets s’éloignent de la conception règlementaire des vols privés.
La DGAC recommande donc la plus grande prudence aux pilotes et aux entrepreneurs qui considèrent cette option. La DGAC va mettre en place un groupe de travail sur cette question avec les principaux porteurs de projet. La Fédération française aéronautique représentant les aéroclubs sera associée. Les conclusions seront rendues avant la fin de l’année.
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Depuis plusieurs mois, des plateformes Internet de coavionnage facilitent la mise en relation entre des pilotes privés et le grand public. Cette activité nouvelle nécessite de travailler à un cadre qui garantisse la sécurité des usagers tout en permettant son développement.
Chacun des acteurs a fait de la sécurité une priorité. Les usagers du coavionnage doivent en effet bénéficier de garanties suffisantes en la matière. Il est notamment nécessaire que les sites dédiés mettent en place un mécanisme de gestion active de la sécurité et des risques.
Ces travaux ont permis de conclure que les organisateurs d’une activité de coavionnage devront se doter d’un certificat de transport aérien (CTA) et d’une licence d’exploitation.
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