Pierre Girault

Pierre Girault Vice-président

La lettre n°82Vie de l'association

Pour l’intégration des nouveaux salariés

Réaffirmer les valeurs de Concorde, présenter les structures d’accueil dans toute leur diversité, insister, sur la cohérence des démarches éducatives dans l’action quotidienne auprès et avec chaque jeune, donner quelques clés qui permettent aux nouveaux personnels qui exercent dans nos maisons et services de faire face aux défis quotidiens et de mieux les accompagner, voilà quelques-uns des objectifs de la journée d’intégration du vendredi 17 mai dernier dans la maison Aristide Briand de Gagny, à laquelle participaient une vingtaine de nouveaux salariés exerçant des fonctions différentes. Si cette initiative n’est pas nouvelle pour Concorde, puisque des journées d’intégration ont déjà eu lieu le 6 avril et le 12 septembre 2023, elle l’est toujours pour ceux qui la suivent et qui découvrent nos maisons. Elle est d’autant plus nécessaire que Concorde a connu un important développement, triplant sa capacité de prise en charge en quelques années et assurant désormais le suivi de plus de 350 jeunes. L’information dispensée doit aider chacun à se sentir partie prenante d’une même communauté éducative. La journée, organisée par Laurence Nominet, directrice des maisons et de Gagny, qui nous accueillait, et Toufik Oukaci, directeur du Dispositif d’Accueil Externalisé, a permis à Florence Mazerat, directrice générale, Yann Chatelain, directeur général adjoint, Sandrine Baillergeant, directrice technique, de mettre l’accent sur nos valeurs et nos règles de fonctionnement, sur les exigences que l’on est en droit d’attendre de chacun, quelle que soit sa fonction. Pierre Girault, vice-président de l’association, a expliqué le rôle et le fonctionnement du conseil d’administration ; Sophie Rodier, responsable des ressources humaines, s’est attachée à mettre à l’aise chacun, face aux formalités « administratives » auxquelles personne ne peut se soustraire. Cette journée, interrompue par un barbecue dans le jardin de la maison, a aussi été l’occasion pour les deux directeurs chargés de la journée de présenter les établissements et dispositifs et de répondre aux questions de chacun. Un exercice utile, à renouveler.

Pierre Girault, vice-président

 

La lettre n°81Vie de l'association

Mercredi 17 janvier 2024, des vœux exigeants

 

« A comme accompagnement ; E comme écoute ; P comme partage et C comme Cohésion ». 

 

C’est ainsi que Madeleine Mathieu, nouvelle présidente, définissait les objectifs de Concorde. « Je connais cette association depuis le début des années 90, période à laquelle j’étais juge au tribunal pour enfants de Bobigny. Alain Junqua en était le président, Marie Foilaine Desolneux ma collègue et Claude Chirouse mon interlocuteur au SEAT ». Depuis, l’association d’éducation populaire Concorde, née en 1969 au cœur de la cité des Bosquets à Montfermeil, s’est beaucoup développée et diversifiée et regroupe désormais 15 structures qui ont accueilli 344 jeunes au cours de l’année passée et près de 300 salariés.

Enthousiaste, elle se réjouit de l’accueil chaleureux et professionnel qu’elle a reçu partout dans l’association et se promet de poursuivre son immersion en visitant la totalité des structures, en rencontrant les équipes et les jeunes, les différents acteurs du siège administratif et bien sûr toutes les autorités et partenaires utiles.

Son vœu pour Concorde en cette année 2024 ? Qu’elle dispose des moyens nécessaires pour poursuivre son action dans les conditions de qualité et de rigueur qui fondent son projet, et qu’elle poursuivre des relations de confiance avec ses autorités de tutelle.

Après avoir remercié M. le Maire de Montfermeil pour sa présence et son soutien si précieux, salué les représentants des forces de l’ordre, Madeleine Mathieu présentait  Mme Eglin, présidente de cette cérémonie : « Magistrate de renom, dont le parcours et les qualités professionnelles et humaines sont unanimement reconnues, tu présides le tribunal pour enfants de Bobigny après avoir été pour moi une collaboratrice très précieuse à la protection judiciaire de la jeunesse, en qualité de sous-directrice des missions de protection judiciaire et d’éducation. Ton engagement au service de l’enfance en difficulté ne s’est jamais démenti, depuis ton premier poste de juge des enfants à Belfort, en passant par tes fonctions auprès de la défenseure des enfants, ton retour aux fonctions de magistrate de la jeunesse à Bobigny en 2006 et jusqu’au cabinet de Mme TAUBIRA, garde des sceaux en qualité de conseillère en charge d’un projet de réforme de l’ordonnance du 2 février 1945, celui-là même qui servira de base de réflexion pour l’élaboration du code de justice pénale des mineurs, dont tu as été la cheville ouvrière.

Ton regard sur la protection de l’enfance au sens large, puisqu’elle embrasse aussi, en tout cas à mes yeux, la prévention de la délinquance, est donc particulièrement autorisé et je te remercie à nouveau très chaleureusement d’être parmi nous aujourd’hui. »

Florence Mazerat, directrice générale dressait un bref bilan de l’année 2023 marquée notamment par l’ouverture d’une seconde maison pour les jeunes relevant de la PJJ, une extension du dispositif d’Accueil Personnalisé pour des adolescents des Hauts-de-Seine, la fin de l’évaluation de trois maisons selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé, qui se conclut par un bilan positif. Elle se réjouissait de la présence de Madeleine Mathieu qui nous confia des jeunes en sa qualité de juge des enfants et depuis restée proche de l’association, ce qui est un bon signe pour l’avenir.

Chargée d’assurer la présidence de cette cérémonie des vœux, c’est en s’appuyant sur un souvenir que madame Eglin a délivré son message : « J’ai connu Concorde en prenant des fonctions de JE en 2006 et rapidement, j’ai été invitée à visiter les foyers Aristide Briand, Gagny, Marie-Foilaine Desolneux, Chevreul, Les Sorbiers, le restaurant d’application.

de J’ai souvenir d’avoir alors croisé un jeune homme d’une trentaine d’années qui revenait de temps en temps donner des nouvelles, présenter la famille qu’il avait fondée. Quand on est juge des enfants et qu’on ne voit revenir que ceux qui ont commis de nouvelles infractions, une telle rencontre est un bol d’air et une invitation à continuer… »

Elle se réjouit de l’enthousiasme de l’action éducative que communique la lettre semestrielle de l’AEPC avec « une mention particulière pour la cérémonie des diplômés qui montre que la réussite des enfants confiés est aussi celle des professionnels qui les accompagnent, qui rappelle à chaque enfant ou adolescent accueilli qu’il compte et qu’il a derrière lui toute une équipe de professionnels qui vont accompagner et soutenir ses efforts, en bons parents. »

« Ce qui fait la force et la richesse des associations, c’est cette diversité de projets, de modes d’action et d’identité, cette capacité à se renouveler, à construire de nouvelles pratiques, à percevoir le sens de l’histoire. J’apprécie particulièrement la qualité des échanges dans les rencontres partenariales organisées par le conseil départemental ou la protection judiciaire de la jeunesse, où cette diversité des idées et des pratiques trouve à s’affirmer. »

Rappelant que le tribunal pour enfants n’échappe pas aux risques d’usure, « qu’il lui faut faire avec ses manques structurels et trouver quand même quoi répondre aux attentes éperdues et aux incompréhensions des familles quand les services chargés de les accompagner manquent d’effectifs et ne sont pas au rendez-vous. Comment tenons-nous ? C’est certainement grâce à la qualité de nos relations, à la confiance réciproque que nous avons dans nos engagements auprès des jeunes et des familles et à l’inventivité du territoire, laboratoire de nouvelles prises en charge et de nouvelles méthodes. »

 « Pour tout cela, je souhaite vous remercier, au nom du tribunal pour enfants, pour le travail accompli en 2023. Je forme le vœu pour 2024 de la continuité d’une écoute mutuelle en gardant comme point de mire l’intérêt des enfants et le soutien aux familles. 

2024 sera sportive, dans tous les sens du terme, aussi je vous souhaite à tous une belle énergie pour en embrasser les enjeux. »

Pierre Girault, vice-président,

La lettre n°81Vie des maisons

Quoi de neuf aux Sorbiers ?

Tel est le titre de la première édition d’un petit livret édité en septembre 2023 qui permet à l’équipe éducative et aux jeunes d’ouvrir les portes du foyer et de faire découvrir leur univers. Très sérieux et plein d’humour, ce qui ne gâche rien, il s’ouvre sur une déclaration résolument optimiste : « Nous croyons en la capacité de chaque jeune de changer et de grandir ».

La présentation de l’équipe éducative : direction, éducatrices et éducateurs, maitresse de maison, est l’occasion de valoriser le travail de chacun et de souligner la qualité du cadre de vie. S’ajoutent des témoignages des jeunes riches de sens : « Merci à tous et à toutes de m’avoir bien accueilli » écrit Lassana ; « Mon inscription au BTP CFA de Noisy-le-Grand est une opportunité que je n’aurais jamais imaginée sans le soutien inestimable que j’ai reçu ici » ajoute José ; « Le foyer des Sorbiers est devenu mon nouveau chez moi, et je me sens déjà partie prenante de cette communité » confie Eloïm ; « Je dois avouer que c’est la première fois que je suis vraiment content de rentrer quelque part, de rentrer chez moi » se réjouit Chrislor….

Ce petit journal est une bouffée d’optimisme et place résolument les jeunes au cœur du projet éducatif : « Un merci spécial à nos jeunes, les véritables moteurs de notre projet. Votre créativité, votre enthousiasme et votre engagement ont été une source constante d’inspiration pour toute l’équipe ».

Nous attendons déjà la deuxième édition de « Quoi de neuf aux Sorbiers ? »

Pierre Girault, vice-président

La lettre n°81Vie de l'association

Claude Chirouse a reçu la Légion d’Honneur

Ce vendredi 3 novembre de nombreux invités se pressent autour de Claude Chirouse dans le grand hall de la Maison Marie Foilaine Desolneux. Si tous les présents ne se connaissent pas, tous ont visiblement grand plaisir à être là pour entourer Claude d’une amicale chaleur.

Florence Mazerat directrice générale rappelle une vie dédiée à la PJJ et à notre association  Concorde dont Claude fut, en 1969, un membre fondateur et évoque un compagnonnage de 37 ans depuis qu’éducatrice en herbe de 20 ans elle a rencontré Claude alors chef de service éducatif au SEAT de Bobigny. Elle exprime sa reconnaissance et son respect pour l’homme devenu naturellement Président de Concorde en 2020 après le décès brutal de M. Junqua.

Madeleine Mathieu, nouvelle présidente de Concorde dit à son tour sa proximité avec Claude lorsqu’elle exerçait au tribunal de Bobigny sa fonction de juge des enfants et participait à la petite troupe théâtrale des Baladins du Palais.

C’est à madame Sylvie Croquin , magistrat honoraire, chevalier dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur, que Claude a demandé d’être sa marraine et de lui remettre sa distinction. Elle s’en acquitte avec humour, élégance et beaucoup de chaleur, retraçant un parcours professionnel tout entier consacré à la jeunesse, depuis un début de carrière comme contractuel avant de devenir élève éducateur puis Délégué Permanent à la Liberté Surveillée au Tribunal pour enfants de Bobigny de 1969 à 1996. Ni copain, ni censeur, Claude sait aider, encourager, chaque mineur dont il a la charge, exprimant toujours lors des audiences des avis mesurés et convaincants, clairs et précis, sur la mise en œuvre de la mesure décidée par le tribunal. Il devient ensuite directeur du Centre d’Action Educative de Meaux et termine sa carrière comme Directeur Départemental de la PJJ du Jura, à Lons-le-Saunier.

Administrateur de Concorde depuis sa création, il en assure la présidence de 2020 à 2023.

Claude devient un de ces Baladins du Palais qui fête dignement les 20 ans du Tribunal de Bobigny et poursuit l’aventure avec des revues judiciaires et des spectacles de Noël pour enfants.

Mais il est aussi un homme de conviction, un citoyen impliqué dans la vie locale, aujourd’hui doyen du conseiller municipal de sa commune.

C’est avec beaucoup d’émotion que Mme Croquin prononça la formule consacrée « Claude Chirouse, au nom  du Président de la République et en vertu des pouvoirs qui me sont conférés, nous vous faisons. Chevalier de la Légion d’Honneur »

En guise de conclusion d’une cérémonie tout à la fois solennelle et chaleureuse, Claude Chirouse a adressé ses remerciements aux intervenantes qui l’ont précédé et à tous ceux qui ont compté dans sa vie professionnelle, associative, politique, à ses amis proches, à sa famille, à son épouse.

Claude Chirouse entouré de sa famille

Très sollicité pendant le buffet qui a suivi la cérémonie, Claude a pu une fois encore mesurer l’attachement que lui portaient ceux qui l’entourent.

Pierre Girault, vice-président,

photos Carol Spence

La lettre n°80Vie de l'association

Les diplômés à l’honneur

C’est désormais une tradition bien ancrée : Concorde a réuni le mercredi 11 octobre  les jeunes qui ont obtenu un diplôme au cours de l’année scolaire 2022/2023, accompagnés par des directeurs, chefs de service et éducateurs des différents services et structures de l’association, en présence de la direction générale et de membres du conseil d’administration.

Ils étaient 54 l’an dernier, ils sont 62 cette année.

Parmi eux nous recensons (il s’agit d’un ordre alphabétique des diplômes et non un classement par ordre supposé de « valeur ») : quatre, le Bac général, quatorze, un Bac pro, deux, un Bac techno, douze, le Brevet des collèges (DNB), un BTS, vingt-trois un CAP, deux, le Certificat de Formation Générale (CFG), trois, un Diplôme d’études en langue française (DELF) et un, un titre professionnel en Agent de maintenance. Cinq ont obtenu une mention assez bien et cinq une mention bien.

Le sourire et la fierté des jeunes recevant leur médaille – une pièce de la Monnaie de Paris dont une face est gravée à leur nom et l’autre du diplôme obtenu – ainsi qu’un diplôme “maison” nous ont montré combien chacun d’entre eux est désireux d’avancer positivement dans son parcours. La formation, au cœur du projet éducatif de Concorde, est illustrée de belle manière.

Les échanges entre les participants se sont poursuivis autour de quelques friandises.

Félicitations à tous pour ces belles réussites.

Pierre Girault, vice-président

La lettre n°80Vie de l'association

Formation interne des salariés

Depuis quelques années Concorde a diversifié ses champs d’intervention et pris de l’ampleur. Deux cent soixante-dix salariés de toutes catégories contribuent à la prise en charge et au bien-être de trois cents jeunes. Il a paru nécessaire que les nouveaux personnels, arrivant dans une maison ou un dispositif, quelle que soit leur spécialité ou fonction, disposent d’informations pratiques indispensables, aient connaissance de la diversité de nos structures – maisons et services – et partagent les valeurs assumées et portées par Concorde depuis plus de cinquante ans.

C’est dans cet esprit que le Jeudi 6 avril, Laurence Nominet, directrice des maisons de Gagny, et Toufik Oukaci, directeur du Dispositif d’accueil externalisé, organisaient une journée d’intégration à l’intention d’une vingtaine de nouveaux salariés dans la maison Aristide Briand de Gagny, un grand pavillon de meulière plein de charme au milieu d’un vaste jardin.

Ce 21 Septembre, la seconde journée d’intégration a eu lieu dans la maison Marie-Foilaine Desolneux. Pour cette occasion, Rachel Emonot, directrice de la maison de Coubron, et Eric Bertherat, directeur du SEPAD (Service Educatif de Placement à Domicile) ont accueilli 24 salariés.

Le 6 avril, Florence Mazerat, directrice générale, après un rapide historique de l’association, insistait sur nos valeurs et nos règles de fonctionnement ; Pierre Girault, administrateur, présentait le rôle du conseil d’administration et nos moyens de communication : La Lettre et notre site internet. Puis Laurence Nominet, Toufik Oukaci, Florence Mazerat et Yann Chatelin, directeur général adjoint, ont présenté à plusieurs voix des informations plus techniques, sur la mutuelle, la prévoyance, les arrêts de maladie, mais aussi sur le règlement intérieur, la formation des salariés, le rôle du Comité Social Economique de l’association… Le 21 septembre, Bernard Moulin administrateur, succédait à Pierre Girault et l’après-midi, Rachel Emonot et Eric Bertherat prenaient la suite de Laurence Nominet et Toufik Oukaci, accompagnés par Sandrine Baillergeant.

Un diaporama le 6 avril, une vidéo le 21 septembre, permettaient de faire un tour d’horizon des dispositifs développés par Concorde depuis sa création en 1969.

Après un repas pris en commun, l’après-midi fut consacré à des sujets plus techniques : lois qui régissent notre secteur, missions des MECS, documents contractuels, connaissance des partenaires… Ce temps de formation interne a généré de nombreux échanges entre les professionnels, qui ont pu amener à des questions pertinentes et des réflexions quant aux valeurs communes prônées par l’ensemble des établissements et services de l’association.

Le contenu de cette journée semble réellement correspondre aux questionnements de nos nouveaux salariés et nous pensons parallèlement développer cette politique d’accueil en envisageant notamment des temps d’immersion sur les différentes maisons.

La prochaine session d’intégration aura lieu en janvier 2024.

Pierre Girault, vice-président de Concorde

Sandrine Baillergeant, directrice technique

La lettre n°80Vie de l'association

Formation interne des salariés

Depuis quelques années Concorde a diversifié ses champs d’intervention et pris de l’ampleur. Deux cent soixante-dix salariés de toutes catégories contribuent à la prise en charge et au bien-être de trois cents jeunes. Il a paru nécessaire que les nouveaux personnels, arrivant dans une maison ou un dispositif, quelle que soit leur spécialité ou fonction, disposent d’informations pratiques indispensables, aient connaissance de la diversité de nos structures – maisons et services – et partagent les valeurs assumées et portées par Concorde depuis plus de cinquante ans.

C’est dans cet esprit que le Jeudi 6 avril, Laurence Nominet, directrice des maisons de Gagny, et Toufik Oukaci, directeur du Dispositif d’accueil externalisé, organisaient une journée d’intégration à l’intention d’une vingtaine de nouveaux salariés dans la maison Aristide Briand de Gagny, un grand pavillon de meulière plein de charme au milieu d’un vaste jardin.

Florence Mazerat, directrice générale, après un rapide historique de l’association, insistait sur nos valeurs et nos règles de fonctionnement ; Pierre Girault, administrateur, présentait le rôle du conseil d’administration et nos moyens de communication : La Lettre et notre site internet. Puis Laurence Nominet, Toufik Oukaci, Florence Mazerat et Yann Chatelin, directeur général adjoint, ont présenté à plusieurs voix des informations plus techniques, sur la mutuelle, la prévoyance, les arrêts de maladie, mais aussi sur le règlement intérieur, la formation des salariés, le rôle du Comité Social Economique de l’association… Un diaporama permettait de faire un tour d’horizon des dispositifs développés par Concorde pour répondre au mieux aux exigences de la protection de l’enfance.

Après un repas pris en commun, l’après-midi fut consacré à des sujets plus techniques : lois qui régissent notre secteur, missions des MECS, documents contractuels, connaissance des partenaires…

Les participants ont pu mieux mesurer que notre association, dans la diversité de ses structures, développe une action cohérente autour de valeurs communes. Cette journée d’intégration, source d’échanges, a été très appréciée et la prochaine est d’ores et déjà prévue en octobre prochain.

 

Pierre Girault, vice-président de Concorde

La lettre n°79Vie des maisons

Une belle fresque pour le SEPAD *

Nous écrivions sur notre site le 5 décembre, que l’inauguration des locaux du SEPAD à Livry-Gargan avait été l’occasion de lancer « un atelier peinture où chacun était invité à peindre un morceau d’une fresque qui ornera l’un des espaces d’accueil ». Cette belle initiative participative s’est poursuivie et désormais la salle d’activités est illuminée par une magnifique mosaïque murale. Cet éclair de lumière témoigne une fois encore de l’attention que les équipes de Concorde, et donc celle du SEPAD, attachent au cadre vie et à la qualité de l’accueil des jeunes et des familles.

Bravo aux artisans de cette belle œuvre.

Pierre Girault, vice-président,

* Service Éducatif de Protection et d’Accompagnement à Domicile

La lettre n°79Vie des maisons

Noël à Chevreul

13 décembre, 19 h 30. Le grand salon du premier étage accueille les invités à la fête de Noël : des administrateurs, d’anciens intervenants, des personnels du service général. Les lutins du Père Noël servent l’apéritif. Jeunes et éducateurs sont tous présents. L’ambiance est détendue et animée ; un film réalisé par Christelle Simoneau, éducatrice, rappelle les bons moments passés pendant les vacances de l’année qui va s’achever. C’est très drôle et les rires fusent aux nombreux gags. 

Dans la salle à manger chacun s’installe où il veut. Les cuisinières ont concocté un festin que tous apprécient. Enfin, le Père Noël franchit la porte. Il est acclamé. Tous remontent au salon et la distribution des cadeaux commence. Il y a un peu de magie dans l’air, de la tendresse aussi ; l’atmosphère est bon enfant et tous goûtent au bonheur d’offrir et de recevoir.

Vers 11 heures, chacun rejoint sa chambre. C’est déjà terminé.

Ces moments festifs et joyeux, animés par des équipes engagées, contrastent avec les reportages de certains médias si prompts à dénoncer les carences de l’aide sociale à l’enfance….

Pierre Girault

La lettre n°79Vie de l'association

Carol Spence prend un nouveau départ

2011 à Vertault : préparation d’un jeu de piste

Carol Spence, « pilier » de l’atelier scolaire du Vieux Chemin de Coubron à Montfermeil fait valoir ses droits à la retraite et quitte ses fonctions le 16 décembre 2022. Mais si elle évoque cette date du soleil plein les yeux, c’est surtout parce que trente et un an plus tôt, jour pour jour, naissait sa fille aînée…

Depuis, le 8 mai 2004, son premier jour à Concorde, elle a aidé, soutenu, encouragé, quelques centaines de jeunes, exerçant avec sa rigueur bienveillante son rôle d’éducatrice scolaire, ouvrant pour les jeunes les portes des lieux de culture. Elle a aimé son travail et les ados qu’elle prenait en charge, quel que soit le profil psychologique de chacun. Elle a d’abord travaillé dans les foyers, avant que les ateliers scolaires soient regroupés rue Delagarde, dans les locaux de l’ancien SAG (service administratif général) en 2016, puis Vieux Chemin de Coubron l’année suivante.

Tous ont profité de son talent pour les arts graphiques ; fresques dans nos deux maisons de Gagny, magnifiques affiches réalisées pour les 40 ans, puis les 50 ans de l’AEPC… Les milliers de photos qu’elle a prises depuis plus de 18 ans sont devenues de précieux témoignages de la richesse et de la diversité d’actions conduites par Concorde.

Avant l’aide sociale à l’enfance, elle avait connu les métiers de l’infographie, elle va désormais revenir à sa passion première pour le graphisme… Mais si Carol nous quitte elle ne nous abandonnera pas complètement puisque, n’étant plus salariée, elle pourra devenir adhérente de Concorde et garder ainsi le lien avec nous. Sa nouvelle vie d’auto entrepreneuse ne lui interdira pas d’intervenir encore dans l’association tout en se consacrant à d’autres projets. Elle caresse aussi l’espoir de rejoindre rapidement sa chère Bretagne. Nous lui souhaitons donc bon vent et lui disons de tout cœur « merci Carol ».

 

Pierre Girault, vice-président de l’AEPC

 

 

 

 

 

 

 

La lettre n°79Vie de l'association

Inauguration du SEPAD

 

De gauche à droite : M. Martin, maire de Livry-Gargan, Éric Bertherat, directeur du SEPAD, Mme Azoug, vice-présidente du Conseil départemental, Claude Chirouse, président de Concorde

Mercredi 30 novembre le SEPAD (Service Éducatif de Protection et d’Accompagnement à Domicile) qui s’était installé dans un grand pavillon de Livry-Gargan pendant l’été était officiellement inauguré. Toute l’équipe avait soigné l’accueil : une maison décorée avec goût, des personnels et des jeunes souriants et efficaces, une animation intelligente, avec des lieux dédiés où l’on pouvait suivre, à l’étage, grâce à un diaporama, le travail rigoureux, complexe et bienveillant de l’équipe du SEPAD, et au sous-sol participer à un atelier peinture où chacun était invité à peindre un morceau d’une fresque qui ornera l’un des espaces d’accueil. Tout avait été fait pour que ce moment soit festif, éducatif, instructif. Une telle organisation fait honneur à toute l’équipe du SEPAD et à Concorde.

 

Après avoir souhaité la bienvenue à Mme Azoug vice-présidente du Conseil départemental, à M. Martin, maire de Livry-Gargan, à Mme la Directrice de l’enfance et de la famille, aux partenaires et salariés présents, Claude Chirouse, président de Concorde, céda la parole à Mme Azoug qui avait déjà fait connaissance avec notre association dès son élection en se rendant dans notre maison de Coubron. Rappelant que le service inauguré ce jour offrait une belle alternative au placement en établissement en proposant des mesures de protection à un enfant tout en le maintenant dans son environnement familial elle annonçait que le département avait décidé d’étendre ce dispositif. Ce fut aussi pour elle l’occasion de rendre un bel hommage au travail titanesque effectué par les professionnels qui aident quotidiennement à réparer des familles fragilisées et meurtries.

Pour sa part, Éric Bertherat, directeur du SEPAD, a présenté ce service qu’il pilote avec engagement et passion. Un service qui se doit de fonctionner dans le cadre d’une intervention intensive, globale, individualisée et viser au développement des compétences parentales par une approche de soutien et de remobilisation. C’est pourquoi le SEPAD, ouvert il y a quatre ans au sein de Concorde, développe un travail d’équipe pour trouver avec les parents des réponses adaptées aux difficultés rencontrées par la famille. Depuis sa création il a accompagné 237 enfants au sein de 131 familles sur dix communes du territoire. Rançon de son succès mais aussi des besoins, les listes d’attente s’allongent pour mettre en œuvre les mesures mandatées par les magistrats.

L’après-midi l’équipe, du SEPAD avait organisé un goûter pour les jeunes et leurs parents. Le bar à bonbons situé à l’étage a enchanté les papilles des petits enfants et des grands adultes. Un atelier maquillage est venu compléter ce temps festif et donner de la joie et du bonheur aux familles présentes. 

Pierre Girault, vice-président de Concorde

La lettre n°75Vie de l'association

Des médailles de Concorde pour nos jeunes diplômés 2020

Depuis sept ans, nous avions pris l’habitude de réunir à la rentrée scolaire tous les jeunes ayant passé avec succès l’examen de fin d’année leur donnant droit à un diplôme sanctionnant leur scolarité. Cette année, Covid oblige, cette sympathique manifestation n’a pas pu se dérouler dans les conditions habituelles, mais chacun a reçu sa médaille, une création originale et personnalisée, réalisée par La Monnaie de Paris, à l’occasion des Noël organisés dans les maisons fin décembre.

Le président de Concorde, Claude Chirouse et des membres du conseil d’administration étaient présents, aux côtés des personnels, pour saluer ces jeunes et leur remettre ce joli cadeau qui récompense les efforts fournis.

40 jeunes, accompagnés par leur éducateur référent, ont été mis à l’honneur pour avoir obtenu les diplômes suivants :

  •   7 bacs : 1 bac STMG, 1 bac S, 1 bac ES, 3 bacs pro (2 Gestion administrative), 1 accompagnement soins et services à la personne), 1 bac STI2D,
  • 14 brevets des collèges (dont 1 mention AB, 1 mention B et 1 mention TB),
  • 15 CAP (1 boulangerie, 1 carrelage, 1 carrelage mosaïque, 2 carrosserie, 2 cuisine, 3 électricité, 1 fleuriste, 1 mécanique auto, 1 menuiserie, 1 pâtisserie, 1 peinture),
  •   2 BEP : 1 vente, 1 accompagnement soins et services à la personne
  •   2 CFG

 

Ces cérémonies, jumelées avec les arbres de Noël dans chaque maison, ont été un vrai moment de convivialité avant un peu de repos pour mieux poursuivre une année scolaire chamboulée par les contraintes sanitaires. Elles ont été l’occasion de rappeler que le taux de réussites aux examens des jeunes des maisons Concorde s’inscrit parfaitement dans les moyennes nationales quand elles ne sont pas supérieures.

 

 

 

Un grand MERCI aux éducateurs, à tous les personnels de l’association pour leur engagement et félicitations aux jeunes dont le travail a été récompensé.

Pierre Girault, vice-président de Concorde

 

La lattre n°73Vie de l'association

Filles et Garçons du Monde, un dispositif de prise en charge des mineurs et jeunes majeurs étrangers

Rencontre avec Philippe Allard, directeur et Touria Mavambu, cheffe de service éducatif.

Le 1er avril 2019, s’ouvrait la « Plateforme Filles et Garçons du Monde » prévue pour accueillir à terme 100 mineurs et jeunes majeurs étrangers adressés par la CAMNA. Où en êtes-vous dix mois plus tard ?

Notre habilitation nous autorise à prendre en charge des jeunes de 15 à 18 ans, et par dérogation des 18 – 21 ans. A à ce jour nous accueillons 75 jeunes, surtout des 17 – 18 ans. Nous avons une référente à la CAMNA qui travaille très bien. Nos jeunes sont hébergés en appartements diffus de 2 à 6 places, loués par l’association. Les huit éducateurs actuellement en fonction travaillent en binômes qui assurent le suivi d’environ 25 jeunes. Deux chargés d’insertion mettent en place les projets professionnels, préparent les sorties de la structure. Une infirmière, trois veilleurs de nuit, dont un à mi-temps, et trois intervenants scolaires titulaires d’un diplôme FLE, deux à plein temps et un enseignant retraité à temps partiel, complètent l’équipe.

Avez-vous rencontré des difficultés pour recruter des personnels ?

Avec une montée en charge progressive nous étoffons notre structure au fur et à mesure des arrivées. La moitié des éducateurs actuellement en poste vient de maisons d’enfants de l’association. C’est pour nous un atout car ils connaissent nos structures et sont en situation d’accueillir leurs nouveaux collègues. Disons que nous sommes épargnés, mais que nous avons mis en difficulté les autres services.

Comment se déroulent les journées de vos jeunes ?

Dès leur arrivée ils passent des tests de connaissance au CIO de Clichy-sous-Bois. Ceux qui n’ont jamais été, ou très peu, scolarisés sont dirigés vers notre atelier scolaire qui fonctionne  toute l’année, y compris pendant les congés scolaires, de 9 h à 16 h. Les prises en charge sont personnalisées. Certains sont orientés vers une structure scolaire adaptée, telle une « UPE2A » ou une « Remob FLE » classe d’une vingtaine d’élèves. Ces classes existent au collège Jean Jaurès de Montfermeil. Il existe aussi une classe « NSA » au collège Romain Rolland de Clichy Sous-Bois. Nous nous mobilisons pour que tous aient accès à des structures de formation professionnelle telles les masterclass (préparatoires à l’apprentissage) du campus des métiers de Bobigny par exemple.

Quelles sont les principales difficultés auxquelles vous vous heurtez ?

Nous avons quelques soucis d’aménagement des logements mais nous déplorons surtout que les jeunes aient tant de difficultés à obtenir des rendez-vous à la préfecture pour régulariser leur situation administrative. Les prises en charge des jeunes majeurs doivent être d’au moins six mois pour permettre cette régularisation. Il nous faut faire respecter le droit du travail car certains employeurs ont tendance à abuser de la précarité de ces jeunes. Théoriquement, nous pouvons les garder un an et demi, mais pour que l’accueil que nous assurons soit vraiment profitable il faut que celui qui nous quitte ait un emploi et un logement. Ce qui est problématique si les prises en charge sont courtes et de fait les formations non terminées.

Au plan culturel, nous avons des liens avec les Ateliers Médicis et le Chapiteau de Clichy. Les ateliers scolaires organisent des sorties éducatives. Il faut du temps pour installer une relation éducative.

Actuellement, nous concentrons tous nos efforts dans la qualité de l’accueil, l’hébergement, la formation, pour construire l’avenir.

Propos recueillis par Pierre Girault, administrateur de Concorde.

La lettre n°71Vie de l'association

Portrait : Patricia, « chargée de mission »

Trouver un emploi et une formation pour préparer la sortie des jeunes accueillis à Concorde, telle est la fonction de Patricia Corveddu, « chargée de mission » à Concorde. Elle a préféré ce nouveau titre à celui pourtant plus explicite de « chargée d’insertion professionnelle », mais qui rendait parfois plus difficiles les premiers contacts avec certains employeurs qui pensaient réinsertion sociale plutôt qu’insertion sociale et professionnelle.
Son champ d’investigations est large. Elle intervient directement pour les jeunes sortis du système éducatif et les mineurs non accompagnés, souvent très peu ou pas scolarisés avant leur arrivée dans une de nos maisons. Son souci : décrocher pour eux des contrats de professionnalisation ou des contrats d’apprentissage aidés par l’État et la Région pour les moins de 18 ans et obtenir une autorisation provisoire de travail.
Trouver des employeurs exige un gros travail de prospection. Patricia travaille en « escargot », explique-t-elle, recherchant d’abord des entreprises proches des foyers et élargissant Patiemment, depuis quatre ans qu’elle exerce ses fonctions, elle s’est constitué un carnet d’adresses qu’elle enrichit sans cesse, essentiellement en Seine-Saint-Denis, à Paris et en Seine-et-Marne. méthodiquement son champ d’investigations. Et le porte à porte finit par produire ses effets. Fidéliser des employeurs n’est pas tâche aisée mais c’est possible. Il faut s’organiser pour rencontrer certains d’entre eux après leur journée de travail, prendre en charge les formalités administratives, établir un rapport de confiance en jouant la carte de la franchise. On comprend que son mi-temps de départ se soit rapidement transformé en plein temps.
Disposant d’une liberté totale de mouvement, elle est disponible, travaille en étroite liaison avec les organismes de formation et les services de l’Etat. Interlocutrice unique des employeurs elle a en permanence sous la main tous les dossiers en cours et se montre très réactive dès qu’une question surgit.
Elle se rend volontiers dans les maisons d’enfants de Concorde et travaille étroitement avec les directeurs et les chefs de service, tous très impliqués par l’avenir des jeunes qui leur sont confiés. Quand des collégiens ou des lycéens, sont en panne pour trouver un stage en entreprise, elle ouvre son carnet d’adresses…
Patricia se passionne pour ce travail qu’elle organise avec rigueur. Elle parle de « périodes pleines », mais dès le premier trimestre, elle prospecte, négocie contrats professionnels et CDD ; les contrats d’apprentissage seront signés à partir du 15 juin. Le reste du temps est consacré aux recherches, au suivi des jeunes, aux liens avec les maisons de Concorde, à la préparation de la rentrée suivante…Y a-t-il vraiment des « périodes creuses » ?
Comme tant d’autres salarié(e)s de Concorde, c’est bien en professionnelle militante que Patricia conçoit sa mission.

Pierre Girault, vice-président

la lettre n°70Vie des maisons

A Chevreul et ailleurs, le voyage extraordinaire

Blanche Heugel marionnettiste en résidence à Clichy-sous- Bois et Montfermeil de septembre 2016 à janvier 2017, dans le cadre d’un contrat local d’éducation artistique, relate ses belles rencontres dans son « carnet de résidence ». C’est avec beaucoup d’humour et de tendresse qu’elle revit sa rencontre avec les jeunes de la maison Chevreul, un soir, vers 20 heures : « … je me sens très bien, comme dans une vraie maison de conte de fées. Comme dans un refuge qu’on trouve après des heures à errer dans la forêt… j’ai très envie de travailler avec ces jeunes. Ils sont beaux. On pourrait raconter les histoires fantastiques de la forêt de Bondy… » Quelques semaines plus tard, elle transforme la salle à manger de Chevreul en théâtre : « ils s’essaient au jeu de des silhouettes et du théâtre d’ombres. C’est l’éclatement général ! J’ai l’impression de me trouver au milieu d’une joyeuse sarabande ! Un très heureux moment… » Elle se souvient bien de Mehdi, « qui ira jusqu’au bout de l’aventure, jusqu’au spectacle, avec beaucoup de cœur et de générosité d’ailleurs. »

Pierre Girault, administrateur

La lettre n°69Vie de l'association

Rencontre avec Mme Dellac, conseillère départementale

Mardi 21 novembre 2017, madame Dominique Dellac, conseillère départementale du canton de Montfermeil, Coubron, Vaujours, Tremblay a été accueillie au foyer Chevreul de Montfermeil. Cette visite amicale a été l’occasion d’un moment d’échanges riches et chaleureux autour de la protection de l’enfance et des missions de l’association avec Alain Junqua, président, Florence Mazerat, directrice générale, Yann Chatelin, directeur général adjoint, Sylvain Lesueur et Philippe Allard, directeur et chef du service éducatif, Karima Aknouche, psychologue, Claude Chirouse et Pierre Girault, membres du conseil d’administration.

Après la visite du foyer, le repas concocté par les cuisinières de l’établissement fut l’occasion de présenter notre projet éducatif porté par des professionnels très impliqués, soucieux d’une prise en charge individualisée et d’une attention portée aux besoins de chacun.

Mme Dellac s’est déclarée prête à revenir rencontrer les jeunes à l’occasion d’un groupe de paroles, comme cela lui a été proposé.

Pierre Girault, vice-président